Sitôt rentré, sitôt à jouer 🙂
Je voudrai vous parler aujourd’hui d’un jeu qui à fait un tel buzz que vous en avez sûrement déjà entendu parler. Mais il serait tellement dommage de passer à coté, que je ne résiste pas à l’envi d’en remettre en petite couche.Faster than light donc, est un « petit » jeu qui fonctionne sur toutes les plateformes. Il coute 10$ (j’ai donné 15), à été traduit en français par des fans, peut être téléchargé sans aucun DRM et indépendamment de toute plateforme type steam et autres saloperies de ce genre (bien qu’après achat et téléchargement, une clef steam soit aussi fournie pour ceux qui préfère l’utiliser). Bref, il n’y a vraiment, aucune excuse pour ne pas l’acheter.
But du jeu
J’ai un peu la flemme de ré-expliquer tout ce qui à déjà été très bien présenté ailleurs. Je vous invite donc vraiment à aller lire ce test. En résumé, si vous aimez les vaisseaux spatiaux, la bonne vielle SF, les problématiques de répartitions d’énergie (moteurs, systèmes vitaux, boucliers, armements…), et l’adrénaline qui monte, en même temps que se recharge votre moteur de saut… et que se rapproche l’explosion d’une supernova voisine, Si vous voulez vous aussi vous creusez les neurones pour établir des stratégies adaptés à chaque combats et à l’armement dont dispose votre adversaire (apprendre à reconnaitre les armes du vaisseau ennemi devient vite une nécessité absolue), alors FTL est fait pour vous.
Non, ce jeu n’est pas trop difficile
Vous trouverez sur le net des gens aigris, des adolescents habitués à ne plus jamais perdre. FTL n’ai pas pour ces gens la. Il ne dispose que de deux niveaux de difficultés, facile et normal. Ne jouez pas les héros. Choisissez facile, et il vous faudra probablement une dizaine de parties pour vaincre le boss de fin. Je l’ai moi même battu plusieurs fois. Connaissant maintenant assez bien le jeu, je dirai qu’en commençant une partie en « facile », j’ai plus de 50% de chance réussir. Le mode « normal » est une autre pair de manche, ou l’aléatoire est peut être un tout petit peu trop présent. Il est donc possible de tomber trop rapidement sur un vaisseau beaucoup trop bien armé, et qui ne fera qu’une bouchée de votre propre navire. Et alors ? Si on perd, on recommence une partie, voila tout. D’autant que finir le jeu, battre le boss, n’est pas la seule récompense possible. Il existe plus d’une dizaine de vaisseau à débloquer, ainsi qu’un mini système de trophés. Remplir les conditions requises et débloquer un nouveau vaisseau ou un nouveau « layout » de vaisseau est au moins aussi plaisant que de « gagner » la partie.
Les concepteurs ont voulu un jeu ou, en mode normal, même un joueur chevronné n’ai que moins d’une chance sur 10 de réussir. Mais une chance sur 10, ce n’est pas zéro. Et oui, 10% de chance de réussir, c’est largement suffisant pour se lancer dans l’aventure tant elle est prenante. Une fois commencé, on ne s’arrête pas, c’est aussi simple que ça 🙂 Et puis, si d’autres y arrivent, pourquoi pas vous ?
Conclusion
Un jeu aussi prenant qui ne prend 150 Mo et qui se lance sans soucis sous linux, c’est pas le genre de chose qu’on voit tous les jours; Alors on en redemande, et pas qu’un peu. J’ignore si une suite et prévue, mais je pense que si un FTL 2 était annoncé un jour, je ne serai pas le seul à pré-commander 🙂