Test de jeu : Uplink

Petite parenthèse n’ayant rien à voir avec ce jeu

Je vais commencer par une petite parenthèse. Ce blog est resté down pendant presque deux semaines. Une véritable éternité en informatique. C’est le premier problème sérieux auquel j’ai eu affaire depuis la mise en place de ce site, mais cela devait aussi forcément arriver un jour ou l’autre. C’est LE gros inconvénient de l’auto-hébergement, vous n’avez pas la fiabilité d’un centre de traitement, ni forcément toujours quelqu’un sous la main pour intervenir si vous êtes vous même à des milliers de km. Est ce que cela va changer ma façon de faire à l’avenir ? NON.

Ma philosophie ne changera pas d’un iota. Ce sont MES informations, et elles resteront donc chez moi. (Par contre l’achat d’un nouvel onduleur est une option étudiée de plus en plus sérieusement…)

Uplink

Dans ma quête de vrais bon jeux que j’aurai loupé à leur sortie, je découvre aujourd’hui Uplink. Original et prenant, cette « simulation hollywoodienne de piratage informatique » m’a fait passer de très bon moments. Si la description présente dans le lien précédent vous fait envie, vous trouverez une démo (linux) de ce jeu ici.

La version complète est disponible sur gog pour 6$. Malheureusement, gog ne semble pas proposer les version linux du jeu. Une autre solution est d’aller directement sur le site des auteurs (Trois fois plus cher !?)

Les points fort du jeu

  • L’ambiance
  • Le fait de devoir parfois se creuser un petit peu la tête pour trouver « comment faire »
  • La liberté totale (on est peut aller explorer n’importe quel serveur pour voir ce qu’il contient)
  • Taille (<30 Mo) et besoin très faible en ressource, ça tourne sur n’importe quoi (mon NC210…)
  • Multi-plateforme
  • Bourrés de clins d’œils « geek »

Les points faibles

  • Peut devenir répétitif, même si on ne décroche pas facilement
  • Pas de sauvegarde, une seule erreur met généralement fin à la partie (1)
  • Un « scénario » qui arrive peut être un peu tard dans le jeu (quoi que…)
  • An anglais uniquement mais bon…

(1) J’avais considéré la même absence de sauvegarde comme un point fort de FTL. Mais la ou FTL se renouvelle complètement de partie en partie, c’est le contraire qui se produit pour Uplink, ou chaque début de parti est quasiment similaire à la précédente. Du coup, contrairement à FTL donc, on n’a pas vraiment envie de recommencer à la moindre erreur. J’avoue avoir rapidement pris le réflexe de quitter régulièrement le jeu pour sauvegarder le répertoire et pouvoir donc restaurer ma partie en cas de soucis…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.