Mise à jour 2021 alors qu’on est en 2022, et que la dernière à eu lieu début 2020 !? Alors oui, on est en 2022, mais depuis pas si longtemps. Je maintiens donc qu’il s’agit de la mise à jour 2021, avec un tout petit peu de retard :p
Catégorie « Simulateur »
Vous le savez, je n’aime vraiment pas ces soit-disant jeux ou l’on se contente de choisir des personnages, un décors, une position, éventuellement des équipements, et bing. Il ne vous reste plus qu’a cliquer ou il faut, ou au bon moment, ou simplement à sélectionner une « vitesse » d’action. Non vraiment, quel intérêt ?
Dans mon dernier billet, j’avais tout de même parlé d’Ai Shoujo. Parce qu’il avait été traduit en français, que le pack complet faisait plus de 25 Go, et qu’il incluait au moins un véritable « jeu » solo, avec un minuscule semblant de scénario, des tâches à accomplir etc.
C’est pour ces mêmes raisons que je signale l’existence (depuis un moment déjà, méa culpa) de Koikatsu party. Je ne parlerai bien sur que de la version complète, pas de la version steam !
Koikatsu party est une évolution d’Ai Shoujo. Au lieu de 25 Go, cette fois-ci c’est plutôt dans les 70 Go d’espace disque qu’il va vous falloir, beaucoup plus lors de l’installation. (Et encore, sans compter la grosse extension « After Party ». Pour ce qui est du « scénario », au lieu de flirter avec votre création sur une plage déserte, cette fois-ci c’est à l’école que ça va se passer. Du coup, ce n’est plus une partenaire que vous allez pouvoir créer, mais plusieurs dizaines.
Anecdote intéressante, c’est précisément à cause de ce cadre scolaire que Steam ne propose qu’une version ultra limité du jeu. Pas d’école, donc plus de « story mode ». Il ne reste que la partie simulateur, et encore, privée de nombreuses fonctions et de vêtements pourtant inclus dans la version de base (comme les uniformes scolaires). Illusion à accepté ces limitations puis s’est empressé de mettre un patch gratuit à disposition sur leur site pour restaurer le jeu dans son « intégralité » (sans tous les DLC payants bien sur). Quand on voit le contenu de certains jeux disponibles en intégralité sur steam en matière de perversion extrêmes et d’actes non consentis, on est quand même en droit de se demander ce qui ne tourne pas rond chez eux. Mais c’est un autre sujet.
Concernant la traduction elle est réalisée de façon automatique avec Google. Une connexion constante est donc nécessaire. Je n’ai plus lancé ce jeu depuis longtemps et j’avoue que je ne me souviens plus très bien de ce que ça pouvait donner. L’avantage est bien sur que toutes les langues sont disponibles. Mais en matière de qualité de traduction, n’espérez pas des miracles. Honnêtement je doute de toute façon que beaucoup s’intéresse au mode histoire. La véritable force de ce logiciel c’est la création complète de personnages féminins uniques. (apparence, vêtements, caractère, voix etc). A noter qu’il existe même une version Android.(Je n’ai pas testé).
Il est aussi possible de jouer en VR (mais il parait que cet aspect est moins aboutie que dans VR Kanojo. N’étant pas équipé je n’ai testé ni l’un ni l’autre).
Catégorie Visual Novel
L’univers des jeux 18+ est submergé de VN. Et plus particulièrement de VN réalisés avec des images de synthèses « réalistes », généralement toutes calculées avec les mêmes logiciels et à partir des mêmes modèles 3D. Même si certains sortent vraiment du lot grâce à des scénarios beaucoup plus intéressants que la moyenne (par exemple Acting Lessons ou Broken Dreamers que j’ai vraiment adoré, ou Being a DIK que je n’ai pas fait mais qui à aussi très bonne réputation), il faut bien reconnaitre que graphiquement la plupart de ces productions se ressemblent énormément.
Pour changer un peu je vais donc vous parler de deux VN dessiné à la main, en 2D comme dans le bon vieux temps.
Good Girl gone Bad. Certes, ses graphismes sont très moyens, mais au moins ça change.
Le plus important, c’est bien sur le scénario et les possibilités offertes. Nous incarnons une étudiante tout ce qu’il y a de plus normale. Sérieuse et plutôt bonne élève, amoureuse d’un garçon intelligent et très gentil. Mais tout ne reste jamais parfait très longtemps dans la vie. Problèmes familiaux, nombreuses tentations aux soirées. Et son petit ami qui décidera finalement de partir pour un voyage humanitaire pendant plusieurs mois. Allez vous lui rester fidèle ? Ou en profiter pour vous « épanouir » un maximum, et apprendre de « nouvelles compétences » (orales ou autre…) dont l’héroïne ignore tout en début de partie ?
A vous de voir comment vous gérerez les différentes situations (souvent plus réalistes que dans la majorité des VNs habituels) qui vont se présenter. Même si les choix proposés varierons en fonction de vos choix précédents, le sentiment de liberté est bel et bien présent. J’ignore encore comment avoir la fin la plus parfaite possible mais, (si elle existe d’ailleurs, ce qui n’est pas certain), mais je ne dois pas en être très loin. On s’aperçoit en effet à la fin du jeu, lors d’un épilogue ou on voit le devenir de toutes les personnes côtoyées, que nos choix ont une véritable influence sur leur destiné. A vous donc de trouver comment aider et conseiller au mieux les personnes que vous aimez, pour qu’ils puissent tous (ou presque) avoir une vie heureuse.
Ce jeu est terminé dans sa version 1.2, même si il comporte encore quelques bugs rarement bloquants.
HealSlut n’est malheureusement pas encore terminé mais je suis son développement depuis très longtemps, et il y a déjà de quoi bien s’amuser. Vous devrez juste conserver vos sauvegardes et faire preuve (comme moi) de beaucoup patience pour connaitre enfin la fin de vos aventures lorsque vous arriverez au bout de ce qui à déjà été écrit.
Vous incarnez un (ou une) nerd bien asocial qui gagne sa vie comme testeur de jeux vidéos. L’équipement utilisé pour se plonger les MMORPGs à quelque année d’avance sur ce qui existe actuellement, donc le joueur ressent ce que ressent le personnage etc. Quand un message de la plus grosse compagnie de jeux vidéos propose un essai d’une nouvelle extension encore plus immersif, notre héro (ou héroïne donc), ne peut évidement pas refuser. Malheureusement, lors de la première connexion au serveur, un bug empêche de choisir la classe de son personnage. Le seul choix possible sera « healslut ». Bienvenu dans un monde héroic fantasy ou vous incarnerez donc forcément une magicienne bi-classée « healeuse / bimbo » avec tous les sorts adaptés. (Les deux premiers que l’on obtient à la création du personnage sont « soin » et « charme »).
Cliquez en haut à droite pour avoir votre status
Projeté dans un monde inconnu sans armes ni équipement d’aucune sorte, vous devrez trouver comment survivre et gagner en puissance. Les situations sont souvent très drôles. Il vous faudra par exemple essayer de trouve des excuses à vos absences dans le monde virtuel (lors des déconnexions), auprès de PNJ qui n’ont pas consciences d’en être. Vous me suivez ? Les dessins sont vraiment très bien faits (enfin des jolies poitrines avec des tailles réalistes !). Les occasions d’avoir des scènes « réservées aux adultes » nombreuses mais toujours parfaitement logiques et justifiées dans le scénario. Même s’il est donc encore loin d’être terminé, c’est clairement l’un des VN m’ayant le plus marqué, et je vous recommence vivement de l’essayer. A noter pour les plus « soumis » d’entre vous qu’il existe un choix vraiment spécifique à un moment de l’histoire. Vous pouvez admettre que vos choix ne sont pas les bons, et donc confier à vos compagnons d’aventure le soin de choisir à votre place. Si vous le faite, vous n’aurez effectivement plus votre mot à dire concernant vos actions. Enfin, vous pourrez toujours vous plaindre, mais vous devrez désormais toujours vous soumettre à l’avis du collectif ou du chef de league. Je n’ai pas testé cette voie, mais elle doit être assez « croustillante ».
Catégorie Open World
Il existe beaucoup de jeux d’actions « érotiques » ou l’on évolue en vue à la troisième personne dans un monde en trois dimensions. Souvent très bugués, la plupart n’offre qu’un game play de beat them all basique. Alors pourquoi ne pas prendre le problème à l’envers, et partir d’un jeu déjà bien abouti, comme Skyrim. Il suffira alors de lui ajouter une multitudes de modules et de patchs divers pour arriver à quelque chose de presque parfait.
Ce qu’il est possible de faire (tout).
Sans parler des mods 18 plus, il y a déjà beaucoup de choses qu’il faut installer pour améliorer Skyrim. Les mods pour corriger tous les problèmes connus (Unofficial Skyrim Patch, Open City…), les mods d’interface (skyui), de son, de textures, des tonnes de vêtements supplémentaires etc. Mais aussi des mods de « survie » comme par exemple la gestion plus réaliste de la faim, de la soif ou des maladies. Il faudra aussi absolument permettre au joueur de commencer une nouvelle partie (nouvelle vie) de façon complétement différente que dans le jeu originale. Je vous laisse regarder cette liste par exemple. Puis d’autres modules pour modifier ce qui arrive en cas de « mort ». Et si au lieu de vous tuer, ces bandits préféraient se servir de vous ? Ou vous vendre en esclavage ?
Notez : le status à gauche (« mince » !?), le cycle menstruel à droite, et mon joli petit ventre
Il est maintenant temps de passer aux choses sérieuses. Plusieurs modules sont des prérequis à tous les autres. Il faut pouvoir gérer un grand nombre d’animations, pouvoir modifier dynamiquement le squelette 3D du personnage pour tenir compte d’évolutions potentiels (oui, on parle bien de la taille de la poitrine ou du ventre en cas de grossesse). Il faut aussi ajouter des possibilités de scripting au moteur de skyrim, et au minimum installer un mod spécifique pour tous les types d’actes sexuels. Un module « plancher » sur lequel tous les autres s’appuieront.
La je suis en mauvaise posture. Mais il y a des gens plus loin, je peux leur demander de l’aide…
Une fois ces pré-requis installés, on va enfin pouvoir entrer dans le vif du sujet. Voici juste quelques exemples, bien d’autres mods « adultes » sont par listés ici.
- Sexlab Aroused Redux SSE (gestion de la libido…)
- Creature Framework SE (framework de base pour gérer les actes… bestiaux)
- More Nasty Critters Special Edition SE (Ajout de vilaines bêtes un peu « tactiles »)
- HentaiCreatures (Sans commentaires)
- Blush When Aroused (permet au personnage de rougir en fonction des circonstances)
- Radiant Prostitution (Permet de « travailer », mais n’oubliez pas la comission du barman)
- Devious Fashion (Gestion de la pousse des poils / cheveux, du maquillage, vernis…)
- Devious Devices (Équipements et vêtements de bondage)
- Deviously Cursed Loot (Et si les coffres contenaient maintenant des « vétements » maudits ?)
- Egg Factory (Si vous voulez pouvoir pondre des oeufs)
- Fertility Mode (Pour pouvoir donner naissance à peu près n’importe quoi d’autres…)
- PeeAndFart (D’autres besoins à gérer. Il faudra trouver des toilettes… ou des gens)
- Schlongs_of_Skyrim (Parce que les attributs masculins, ça compte aussi)
- Serial Stripper (Se déshabiller n’est plus instantané, des animations sont maintenant disponibles pour retirer chaque pièce d’équipement)
- Simple Slavery (Ce qui pourrait arriver si vous êtes vaincu pas les mauvaises personnes)
- Skooma Whore (Ajouts de drogues et de leurs multiples effets)
- Milk Mod Economy (Tirer son lait pour le vendre. Ou gérer sa propre ferme…)
Je suis cachée ! (Ok, en vrai ce tigre m’a vaincu. Et il en profite…)
Ce qui est génial, c’est que les principaux modules de Skyrim se reconnaissent et savent interagir entre eux. Les armures vont pouvoir s’adapter à la morphologie du personnages. Vous êtes sous clairement sous l’emprise de la drogue ? Les gardes pourraient ne pas vous laisser entrer en ville, ou vous envoyer en prison (un autre mod). Se faire violer est une chose. Mais le module « fertilité » est installé, alors vous pourriez bien avoir un autre problème à gérer dans un délai plus ou moins long (paramétrable comme absolument tout le reste).
J’essaye des tenues. Ah non, pas celle la !
Installation
Voila, c’est maintenant que les choses se compliquent vraiment. Il est impossible dans ce billet de décrire toutes les étapes nécessaires à une installation « complète » de skyrim en version 18 plus. Je peux simplement vous donner quelques indications.
Choisir la version SE de skyrim
Il semble que ce soit cette version qui soit la mieux supportée par la comuneauté de moders à l’heure actuelle. Donc oubliez la « legendary edition » ou la première version de Skyrim, prenez la bien la version « Special Edition ». A partir de la, n’installer jamais aucun module sans être certain qu’il est bien adapté à cette version « SE ». (Beaucoup de modules sont disponibles dans au moins 2, voir 3 versions, donc vérifier bien celle que vous télécharger).
Installer Vortex
Vortex est un utilitaire permettant de gérer l’installation et l’activation des modules. Il aide aussi à détecter les incompatibilités, et propose des solutions pour régler les conflits. L’usage de cet outil est IMPÉRATIF. Vous n’y arriverez jamais sans. Il vous servira aussi à lancer le jeu avec toutes les bonnes options.
Ce truc s’est entortillé autour de moi et ne veut plus me lâcher !
Il va vous falloir installer des dizaines, peut être des centaines de modules. Chaque module devra être paramétré dans le jeu (echap / Système / Configuration du Mod). Et la plupart des modules dont j’ai parlé ont des pages et des pages d’options, de touche de raccourcis à paramétrer etc.
Pour être sur que tout fonctionne comme prévu, je vous recommande vivement de n’installer que deux ou trois modules entre chaque lancement du jeu, et de bien les tester et configurer avant d’en installer d’autres.
Lisez les docs ! En particulier les prés-requis nécessaires pour chaque module. Vous passerez probablement plusieurs heure à n’installer que cela, des pré-requis. Mais une fois qu’ils seront installés, tout devrait aller beaucoup plus vite.
Je vous ai mis ici une liste des modules que j’ai téléchargé (tous ne sont pas actifs). J’en ai testé d’autres, mais je les ai supprimé pour des raisons diverses. Cela devrait déjà vous donner quelques pistes.
Pee time ! (Je suis gentil, je vous épargne la version solide)
Conclusion
Le framework de base (sexlab et principaux modules additionnels) peut gérer le bondage, les rapports à deux ou à trois, les actions consenties ou non, les humains, les animaux, les tentacules, les parasites, les tatouages et piercings ainsi que toutes autre modification du corps. Il peut conserver en mémoire le cycle hormonal de tous les PNJ, ainsi que leur état d’excitation respectif et le cas échéant le contenu de leur utérus…
Et pour cet article, la mise à prix sera de …
Une fois tous les modules de votre choix installés, tous vos fantasmes devraient donc être virtuellement réalisables. Si je me trompe, c’est que ces derniers doivent être vraiment…intéressants. Décrivez-les moi en commentaire, merci 🙂
Catégorie Rogue Like / Dungeon Crawler
Escape Dongeon un et deux se ressemblent beaucoup. Dans le premier (« vu de dessus) » vous devrez aider une princesse prisonnière à s’échapper. Dans le second (vu isométrique en 3D), il faudra guider votre archère elfe jusqu’au big boss des forces du mal et le tuer.
Dans les deux cas, tout le gameplay est en tour par tour. (Le second à un feeling un tout petit peu plus action car les attaques de base se font à distances, contrairement au premier ou il faudra utiliser un sort ou une capacité spéciale pour ça). Je ne pourrai vraiment pas vous dire lequel je préfère alors essayez les deux 🙂
Évidement le contenu adulte arrivera dès que vous serez (re)capturée. Mais même en jouant parfaitement vous n’y échapperez pas. Pour la bonne et simple raison qu’il est complètement illusoire de pensez pouvoir vaincre le jeu lors de la première tentative. (ou de la cinquième, ou…)
A chaque « run », vous débloquerez des points d’expérience qui vous permettrons de customiser les attributs et compétences de départ de votre personnage, rendant ainsi la partie suivante un peu plus facile. Mais même ainsi il vous faudra de la patience pour venir à bout du jeu. Heureusement le gameplay simple mais addictif, et le fait que l’on progresse un peu d’avantage à chaque partie, nous pousse à recommencer et on ne voit finalement plus le temps passer 🙂
Enfin je peux pas parler de Rogues like sans reparler de Trap Quest dont j’avais déjà parlé.
Trap Quest (hotel)
Aika gagne tellement d’argent grâce à ce jeu (il n’ose même plus afficher combien sur patréon et SubscribeStar) qu’il ne le terminera jamais. De même, je pense que les belles promesses de rendre gratuitement accessibles les fonctionnalités les plus importantes à un moment donnée du développement (vêtements sur l’avatar, épilogues…) ne seront jamais tenues. Pour vous donner une idée, il était déjà à plus de 8000 dollars par mois il y a des années alors qu’il n’utilisai que Patréon. Je suis certain qu’on est maintenant à beaucoup plus de 10.000€ par mois.
Et comme il est totalement impossible de trouver des « licences » sur le net, j’avoue moi aussi contribuer de temps en temps. (Allez une fois par an quoi). Histoire d’avoir une version complète du jeu de temps en temps. Version que je fournirai à tout ceux qui m’en feront la demande gentiment (et à condition bien sur qu’elle ne se retrouve pas ailleurs sur le net !)
Trap Quest (extra credit zone)
Globalement nous sommes maintenant arrivé à un point ou on pourrait considérer le jeu comme étant terminé. Six régions au total (en comptant l’école et votre quartier, uniquement accessible lors de défis optionnels, accessibles en sortant de l’école). Pour s’en sortir à peu près « indemne », il est vivement conseil d’ignorer toutes ces zones optionnelles, et de foncer à la sortie du jeu (dans l’hôtel) dès que l’on s’est un peu endurci(e). Si au contraire vous voulez terminer le jeu en ayant un maximum de points et en ayant « vécu » des situations impossibles, vous savez ce qu’il vous reste à faire. Personnellement je n’ai encore jamais réussi à stopper le rituel impie dans le manoir, mais je n’abandonnerai jamais et je vais continuer d’essayer.
Catégorie Management ?
ATTENTION : Je n’ai encore jamais joué à CUSTOM ORDER MAID 3D2
Mais d’après les critiques, il semble que ce jeu ne soit pas mauvais. A première vue, il ressemble pourtant beaucoup à un Koikatsu Party ou autre simulateur du même genre. On commence la aussi par créer ses personnages (trois au début du jeu) mais le but est ensuite de les utiliser pour gagner de l’argent, plus que pour les séduire. Pour cela, à vous d’utiliser la méthode de votre choix. Vous pouvez en faire un groupe d’idoles (avec un petit jeu de rythme inclus et les chansons qui vont bien). Ouvrir un casino, ou un restaurant et les transformer en cuisinières, ou en serveuses dans un « maid café » de luxe…
L’après midi est utilisé pour faire progresser les filles dans différentes activités ou pour améliorer le club (agencement etc). Les soirées sont faites pour travailler ou en apprendre plus sur vos trois protégées (il semble que chacune d’elle ai son son propre caractère, son propre historique, des points forts ou des points faibles etc).
Bien sur vous pourrez aussi décider de transformer le « club privé » dont vous avez la gestion en un véritable bordel. Mais pour cela, il faudra installer un patch « adulte ». Environ 5€ juste pour le R18+, et si vous voulez tous les équipements, chansons, personnalités supplémentaires etc, vous pouvez multiplier le prix du jeu de base par dix, voir beaucoup plus…
Heureusement qu’il y a des gens qui n’hésitent pas à donner un maximum de leur temps pour nous simplifier grandement la vie à nous, simples mortels 🙂
De nouvelles urls
J’en avais déjà indiqué pas mal dans la troisième partie du premier dossier consacré au sujet. En voila quelques unes de plus.
D’abord un lien un peu « underground » mais vraiment très pratique :
Environ 1400 jeux référencés. Pas de pub ou de blabla, juste les liens de téléchargement.
Bloqueur de pub indispensable, mais ce site à le mérite de récupérer rapidement les dernières versions disponibles des titres disponibles. Et ces numéros de versions sont toujours clairement indiquées, ce qui est loin d’être le cas partout. C’est un site simple avec des liens rapides (mega). En plus des jeux, vous trouverez aussi des animations de synthèse en streaming (de qualités très inégales, mais il y a du bon).
Simple et efficace mais sans possibilité de tri. A noter que ce site fait la distinction entre les jeux d’origine asiatiques « hentai game » et ceux d’origine occidentale « porn game ». On dira, en simplifiant, que les « porn games » utilisent plus souvent des images calculés en 3D, et ont souvent un game play plus proche du jeux d’aventure tout en restent globalement plus… « sage » dans les perversions présentes. Les « hentai games » sont plus fréquemment des visuals novels, des « simulateurs » ou des J-RPG qui n’hésitent généralement pas à décrire des situations beaucoup plus extrêmes et souvent moins consensuelles.
Un agrégateur utilisant divers autres plateforme. Le résultat est un gros bazar, rempli de jeux japonais en cours de développement et partiellement traduits en anglais (traduction manuelle ou automatique en patchant directement les fichiers du jeu…) Clairement pas le site que je recommanderai en priorité donc, mais une possibilité de découvrir des nouveautés, ou des trucs bien obscures, traduits ou non.
A dans un an… plus ou moins 🙂
Edit : Ce fut beaucoup plus, mais l’article suivant est ici.
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